La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1468)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1463) -

La semaine commençait à peine, je n'allais pas tarder à découvrir combien il était aisé de posséder un corps d'esclave de bien des façons... Ainsi, Monsieur le Marquis d'Evans, Le Seigneur et Maître dont j'étais la très humble et dévouée propriété avait entrepris de me faire subir une longue semaine de contraintes et de dressage, afin que je progresse plus rapidement dans l'appartenance totale et sans limites que devait impliquer ma condition d'esclave... Cela passait naturellement, ainsi que je l'avais vécu dès le premier jour par une utilisation permanente et intensive de mes modestes orifices, l'anal et le buccal, mais aussi par la nécessité d'anéantir définitivement toute forme de pensée autonome de ma part, toute capacité à laisser vagabonder mon esprit qui ne devait plus avoir qu'une seule et unique option et objectif : Lui obéir et Le servir, toujours, partout, en toutes circonstances, quelles que soient les situations, quel que soit ce qu’il me ferait endurer, subir, vivre, juste obéir dans un total est indéboulonnable lâcher-prise franc et sans équivoque...

Les journées étaient ainsi particulièrement chargées, avec les nombreuses tâches domestiques afin que le Maître puisse évoluer le plus confortablement possible. Les fréquentes utilisations de mes orifices et quelques heures tout de même consacrées aux révisions... Tout au long de ces journées fort "studieuses", le jeune Châtelain ne s'adressait quasiment jamais à Son esclave. Je devais accomplir mes tâches avec la plus extrême discrétion. Lorsqu'Il usait de mes orifices, Monsieur le Marquis d'Evans ne s'adressait pas plus à moi. Il s'approchait, se saisissait de la laisse qui pendait sur mon torse et m'entraînait là où Il avait décidé de me posséder. Là, sans un mot de plus, le Noble plaçait mon corps nu selon Ses Volontés et me pénétrait sans préambule, me possédait avec force, jouissait violemment en moi, puis me congédiait d'un geste furtif, afin que je poursuivre la tâche qu'Il venait ainsi d'interrompre.

Je préparais et servais également les repas du Maître, lorsqu'il n'était pas de sortie. Si tel était le cas, alors Il me positionnait sur le tabouret-gode, contre le mur, ainsi que je l'avais été au premier jour, mes poignets fixés au mur... et je demeurai ainsi pour le temps de la sortie du Maître dont j'ignorais naturellement quelle en serait la durée. Parfois plusieurs heures, à attendre ainsi rempli et immobile, dépouillé de toute forme d'autonomie, ou de pudeur, réduit à l'état de meuble quelconque...

Un autre jour, un livreur sonna à la porte et apporta un grand carton assez plat. Après avoir signé le reçu au transporteur, le Maître ouvrit, sans attendre le carton et en sortit des éléments grillagés. Je compris qu’il s’agissait d’une cage en kit et à monter soi-même. Le Noble ne prit que quelques minutes pour cela. Résultat : Une jolie cage apparue au milieu du salon. Elle devait faire environ, 1,20 mètre de long sur 80 centimètres de large et autant de haut… Je compris assez vite que cette cage m’était destinée… Il y avait aussi quelques accessoires lesquels le Maître était en train d’installer. J’aperçus, parmi eux, un volumineux gode en plastique dur avec une patte de fixation à sa base pour le maintenir horizontalement à une des parois grillagées. Sur cette base était placé un petit moteur électrique suivi d’un câble destiné à une prise murale. Je compris vite que ce petit moteur devait provoquer une rotation circulaire et régulière du gode. Il y avait aussi une espèce de mangeoire à fixer également à une des parois où il était inscrit dessus ‘Abreuvoir à sperme’. Enfin, un troisième et dernier accessoire venait compléter l’ensemble, c’était un bâillon-écarteur.

Monsieur le Marquis voulut essayer au plus tôt son nouvel équipement. Une fois que ce bâillon-écarteur me fut imposé dans ma bouche, fixé par une sangle derrière ma tête, je fus enfermé à quatre pattes dans cette cage. Je fus aussi obligé de me reculer un peu pour que je m’empale bien le cul avec ce gode en cette position de quadrupédie.
Le Maître avait lubrifié au préalable ce gode avant d’enclencher à la prise murale, la rotation du sexe factice dans mon fondement me provoquait mille excitations, je dois bien l’avouer. Tandis que je me faisais ainsi labourer le cul, le Maître avait passé Sa noble Verge entre deux barreaux afin de venir me posséder la bouche comme un simple trou. Après avoir bien savouré ma cavité buccale, Il se retira uniquement pour éjaculer Sa divine Semence dans l’abreuvoir à sperme en me lançant :

- Tient, Mon esclave, ce sera pour quand tu auras soif !…

Vint aussi un autre jour où Le Maître rentra ainsi d'une longue sortie matinale. Il semblait particulièrement enjoué et vint Se placer devant moi, alors que j’étais positionné sur le tabouret-gode, contre le mur. Machinalement dans une banalité évidente, il dégrafa son pantalon et poussa Sa Verge dressée et tendue entre mes lèvres, s'enfonçant lentement mais inexorablement jusqu'à mon fond de gorge, avant d'imprimer un lent va-et-vient dans ma bouche offerte, tout en empoignant mes cheveux pour imposer son rythme. Ainsi, le Châtelain me besogna longuement… Et ce n'est qu'après avoir joui et que j'eus avalé Sa Semence épaisse et abondante qu'il recula d'un pas et contempla l'esclave que Son Pouvoir, Son Aura, Sa Puissance et Son Charisme avaient fait de moi. Oui moi, cette créature docile, offerte qui dépendait corps et âme de la seule Volonté du Maître...

- Bonne nouvelle, Mon esclave, tu vas m'être utile aujourd'hui, dit-Il. Je viens de discuter un moment avec notre voisine de palier. Tu sais, cette charmante trentenaire toujours tirée à quatre épingles qui vient d'aménager dans l'appartement voisin, il y a quelques semaines. Nous venons de partager un café en terrasse, il fait si beau aujourd'hui ! Oh c'est vrai, tu n’as pas pu apprécier le temps, tu es resté enfermé... Eh bien, nous avons eu une fort intéressante conversation et de fil en aiguille, nous avons évoqué la difficulté à trouver de bons domestiques.
Après lui avoir confié et expliqué mon Art de vivre dans la Domination/soumission, Je lui ai vanté les avantages à disposer d'un esclave totalement dévoué et elle n'a pas manqué d'être intriguée voire intéressée. Ni une, ni deux, Je l'ai conviée à venir dîner, ici, dans Mon appartement. Afin qu'elle puisse juger du confort qu'apporte un esclave formaté sur mesure. Elle était justement disponible ce soir, alors prépare-toi et surtout ne me déçois pas. Il t'en cuirait... douloureusement...

Ainsi, tandis que Maître vaquait à Ses Occupations à l'extérieur, je m'activais toute la journée afin de mettre en place tout le nécessaire afin que la soirée de Maître soit parfaite. Lorsqu'il rentra à l'appartement, Il fit une minutieuse inspection, afin de vérifier que Son esclave n'avait rien négligé pour que la soirée prévue se déroule sous les meilleurs auspices. Agenouillé au centre du salon, j'attendais Son Verdict, me remémorant tout ce que j'avais fait, dans la crainte d'une éventuelle erreur, genre un peu de poussière oubliée sur un meuble. Mais Le Maître revint vers moi et caressa ma nuque, comme on caresse le dos d’un animal de compagnie…

- Bon chien. Tu as correctement travaillé. Tu seras récompensé, car assez tôt, quand Je le déciderai, ton cul de pute aura la chance de recevoir Ma Verge… Mais en attendant, tu vas aller prendre une douche froide et je t'autorise à utiliser mes restes de savon. Je veux que tu sois impeccable pour ce soir, compris Mon esclave ?

Exceptionnellement donc, je pouvais me laver autrement qu’avec l’eau de la chasse d’eau de la cuvette des WC et j'utilisais un petit bout de savon qui moussait agréablement sous l'eau froide, bien sûr. Le Maître m'avait accordé trois minutes que je mis à profit pour faire une bonne toilette, chose si rare puisque généralement je n'avais accès qu'à l’eau des chiottes, comme déjà évoqué. Maître, Monsieur le Marquis d'Evans vint m'inspecter à la sortie de la douche, me faisant pencher bien en avant, jambes écartées.
Et m’obligeant aussi à bien écarter mes fesses avec mes mains afin qu’Il puisse m’inspecter jusqu'au plus profond de mon cul. Ensuite, Il passa devant moi et je léchai le doigt qu'il venait de pousser dans mon fondement afin d'en constater la propreté.

Satisfait, le jeune Châtelain fixa à mon cou un collier plus épais que celui que je portais en permanence, garni de pointe d'acier et orné d'une plaque de métal jaune sur laquelle figurait simplement le mot "slave". Il avait aussi un anneau duquel partait une chaine que le Maître plaça dans mon dos, afin de la relier à un crochet anal garni d'une petite boule qu'il introduisit dans mon anus. Non content de me remplir le cul, cet instrument me contraignait à me tenir très droit afin d'éviter que le crochet ne fasse trop pression si par malheur je me penchais en avant. Et donc si je me relâchais à peine, si je courbais le cou, alors le crochet me rappelait immédiatement à l'ordre. Je devais donc me tenir très droit, m'appliquant cependant à garder les yeux baissés ainsi que l'exige ma condition d'esclave. Cela annonçait une soirée bien peu confortable pour moi, mais seule la pleine Satisfaction du Maître comptait...

J'attendais ainsi équipé, l’anus encombré de cette boule-crochet et non sans angoisse la venue de cette voisine que je n'avais du croiser qu'une ou deux fois depuis son installation. J'en gardais le souvenir flou d'une belle jeune femme d'une trentaine d'années, toujours vêtue avec une élégance sobre. Des tailleurs-jupes d'excellente facture, tombant à merveille sur un corps manifestement parfaitement proportionné… Je ne pouvais me défaire d'un fond d'angoisse à la pensée de la soirée qui approchait. Pour la première fois j'allais être confronté au regard d'une personne "non initiée", n'appartenant pas au Cercle des Supérieurs. D’après le peu d'informations accordées par Le Maître, cette Dame s'intéressait à la "situation" du Maître et de l'esclave, mais à quoi s'était-elle vraiment préparée ? Etait-elle vraiment consciente de la profondeur absolue de la condition d'esclave et de tout ce que cela impliquait ? Quel regard allait-elle porter sur moi ? Certes, j'étais pleinement conscient d'être à ma vraie place et j'en étais heureux. Rien ne pouvait m'être plus précieux que d'appartenir à Monsieur le Marquis d'Evans et de savoir que ma vie entière serait consacrée à Le Satisfaire en tous lieux et toutes circonstances.

Etant esclave, je n'avais pas à me soucier du regard que l'on pouvait porter sur moi. Qu'il s'agisse de désirs, de mépris, de moqueries... ou de tout autre sentiment, rien d'autre ne comptait pour moi que le Maître. Seul Son Regard et Sa Volonté devaient me guider. Un esclave peut tout subir, tout endurer, dès lors qu'il agit pour obéir au Maître dont il est la plus absolue propriété. Ni pudeur, ni dignité, ni intimité, ni tout autre objectif que La satisfaction du Maître, pleine et entière, quoi qu'il en coûte. Un esclave n'est rien, seulement l'instrument d'une Volonté supérieure qui le dresse, le formate, le façonne et l'utilise… Telles étaient mes pensées alors que Le Maître se détendait dans Son fauteuil préféré... Telles étaient mes pensées lorsque retentit la sonnette...

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!